vendredi 21 mai 2010

LE VENDREDI, AU BOULOT

je côte les poul*s de batteries.
Celles qui font si grise mine :

qu'on ne peut que faire que des bouillons Kub où les envoyer en Afrique (où ça tue l'économie locale, mais l'engagement altermondialiste n'est pas dans ma ligne éditoriale phatique).
15 négociants à appeler, qui font, faut croire, un concours de musique d'attente de téléphone déprimante. C'est pas le meilleur moment de la semaine. Sauf que. Depuis deux mois, un nouveau standardiste a été embauché dans une des entreprises. Avec une voix... sexy à en tomber.
(J'en tremble encore sur ma chaise).
Je ne comprends pas pourquoi, au lieu de vendre des poul*s, il ne fait pas de doublage de comédies romantiques (voire de films pornos dans l'absolu).