Cher lecteur, ma précédente réponse autant truffée de fautes qu'un foie gras à Noël se justifiait pour répondre à la question fort peu orthodoxe. Question que j'ai supposé être une petite boutade de répétition par rapport à la précédente question émanant d'un inconnu.
Bref, tranchons de le vif, et décidons en cœur de cesser de maltraiter la langue de Molière et de Bernard Pivot, que ce soit dans les questions, les réponses, ou les textes.
Tout en gardant l'indulgence nécessaire envers les fautes de frappe, car je tape parfois plus vite que mon ombre sans trop pouvoir me relire si mes collègues surgissent dans mon dos.
Mea Culpa.
mercredi 10 novembre 2010
Ginoute, si tu continues ces fautes de français, j'arrête de lire ce blog.
