vendredi 10 avril 2009

POUR CHANGER UN PEU DES SOIREES SI PARISIENNES

Hier soir j'étais avec des jeunes cadres dynamiques et durables. On avait pas trop planifié et on s'est retrouvé au resto éthiopien ayant en tête d'aller dans un ciné d'Arts et d'Essais après dîner. Ca m'a quand même rendue toute chose de voir ce genre de soirée si Paris.
Bref.
Alors le resto éthiopien c'est trop bien, c'est bolchevique vu que tu as une unique assiette pour les trois et tu pioches à tire larigot dedans à la main.
T'es assis sur des petits tabourets plutôt cools et les cocktails dépotent (je devrait être cocktail-ologue moi).
On sort un peu tard pour le ciné. Mais motivés, on erre à droite à gauche en quête d'une scéance pour 23hoo. En vain.
On cherche un peu comment s'occuper (en octobre on avait hésité "panini ou sex-shop" © Copyright quelqu'un, là ça s'orientait "bar musical ou plan à trois" comme quoi le se*e serait un passe-temps pour la soirée comme un autre?).
Bref, on tente d'aller s'acheter une bouteille pour s'enivrer quelque peu sur les bords de Seine, mais le Monoprix ne vend plus d'alcool à 22h50. Mais par contre on a pu tester les maquillages dans tous les sens.

Tout(es) pailletté(es) et sans bouteille nous reprenions nos errances nonchalantes quand soudain...

La jeune demoiselle avec nous fit une crise d'allergie remarquable (au sarrazin du resto éthiopien).
Et bien chercher une pharmacie de garde dans Paris à minuit, c'est une occupation drôlement mieux que tous les films d'arts et d'essais du monde!
(faut rentrer demander aux gens, téléphoner aux renseignements, aux gendarmes...).


(Pour info, il y en a pas beaucoup! Mais à Tolbiac, c'est bon)
(le pire c'est qu'il y avait la queue à la pharmacie pour des gens achetant leur savon à minuit)