samedi 24 janvier 2009

A L'HEURE OU PARIS S'EVEILLE

On déambulait à la recherche d'un Kebab qu'on n'a jamais trouvé. Quand tu déambules, soule, de nuit, avec un garçon, c'est long parce que les garçons ça s'arrête tous les trois arbres faire pipi. Alors on est arrivé chez moi qu'à 7hoo et on a fait des pâtes, faute de kebab.


Mais l'envie de kebab a sournoisement refait surface vers 15hoo et nous a emmenée vers un lieu de perdition juste en bas de chez moi.

Où trois types t'attendent et te disent "nous, on est comme une équipe de foot mais à la place on fait des kebabs".

Où un peu fatiguée j'ai juste dit "tout pareil" pour commander, on m'a répondu "vous voulez pas choisir?", j'ai répondu "non, je suis trop fatiguée pour ce genre de choix" et on m'a regardé avec ahurissement et respect.

Mais surtout, surtout, endroit où les kebabs sont tellement gras que de la graisse liquide coule partout, partout noyant ton plateau, la table, le sol.


J'ai mangé en un repas assez de calories pour deux semaines, c'est économique.